@article{oai:nagasaki-u.repo.nii.ac.jp:00010478, author = {正本, 忍}, issue = {2}, journal = {長崎大学総合環境研究, Journal of Environmental Studies Nagasaki University}, month = {Apr}, note = {Cet article a pour but d'examiner le recrutement des « officiers » militaires et judiciaires de la maréchaussée en Haute-Normandie entre 1720 et 1750. Nous en avons analysé et reconstitué les formalités en dépouillant des documents dont l’essentiel est conservé aux Archives nationales et aux Archives départementales de la Seine-Maritime. De l’ensemble il ressort que les intentions de ceux qui ont hérité d’un office et qui sont candidats à sa charge exercent une grande influence sur le recrutement des officiers militaires et que leur niveau de ressources y joue aussi un rôle important. Il a donc été très difficile pour le pouvoir royal de contrôler entièrement le recrutement des officiers militaires qui conservaient encore leurs offices, et ce même après la réforme de 1720. Ce problème en constitue une de ses limites. Nous notons aussi que l'on exigeait peu de compétences de magistrat de la part des officiers militaires de la maréchaussée. Cela signifie inévitablement que, dans la justice prévôtale, les officiers judiciaires de la maréchaussée et ceux des autres tribunaux appelés comme juges suppléants remplissaient un rôle plus important que les officiers militaires. Il faut noter que malgré cela, le pouvoir royal a maintenu l'essence de la justice prévôtale, c'est-à-dire que les prévôts des maréchaux ont continué à l’exercer dans le cadre de la juridiction des maréchaux de France., 長崎大学総合環境研究, 14(2), pp.11-21; 2012}, pages = {11--21}, title = {新生マレショーセにおける«officiers»の採用・就任手続}, volume = {14}, year = {2012} }